NOM DE CODE : MÉMÉ RUTH, ça existe, les chasseurs d’épave ?

Oui, ça existe tellement, qu’il y a des sociétés qui font des recherches de trésor au fond des océans, et qui sont cotées en bourse!

C’est le cas par exemple de la société Odyssey Marine Exploration !
Et elle n’est pas la seule!
Difficile d’avoir des infos sur ce boulot assez lucratif car :
1/ le secret est leur outil principal.
2/ avec internet, les recherches se démocratisent et on dit que d’ici dix ans, il n’y aura plus d’épaves non répertoriées au fond des océans, ils sont donc d’autant plus enclins à ne pas lâcher leurs secrets !
Odyssey Marine Exploration est une des rares sociétés à communiquer sur ses activités.
Il faut dire qu’ils ont touché le jack pot!


Ils ont découvert le Republic, un steamer américain rempli de pièces d’or qui a sombré au large de la Géorgie en 1865.
Après douze années de recherche, Ils ont remonté le butin: près de 400.000 dollars de l’époque en pièces de monnaie, soit une valeur actuelle comprise entre 120 et 200 millions de dollars.
Et la société a pu conserver 90% de la cargaison.
(car les lois qui entourent les découvertes de trésors sont compliquées et varient en fonction des territoires!)
D’après l’Unesco, près de 1 millier d’épaves  encore non découvertes contiennent suffisamment d’objets de valeur pour rentabiliser la recherche.
Car ça coûte bonbon de chasser des épaves!
Il faut trouver des sponsors: matériel technologiquement très avancé, équipages experts, expéditions qui peuvent durer plusieurs mois, voire plusieurs années.
Sans compter le travail en amont: la traque d’archives, de cartes et de tous documents en mesure d’identifier et de cartographier les trésors potentiels.

Comme vous pouvez vous en douter, ce genre d’infos qui font rêver à la Grande Aventure, façon Pirate des Caraïbes, quand je tombe dessus, c’est pain béni pour broder autour, avec Rosie.
Et si Rosie rencontrait un chasseur d’épaves?

J’ai lancé le pavé dans la mare Rosie Maldonne, et j’ai écrit, pour voir ce qu’il en sortirait.
La pêche a été bonne. Elle m’a emmenée jusqu’à la seconde guerre mondiale et la résistance vue par Mémé Ruth, en passant par le New âge et Marcello Mastroiani, sans oublier la réinsertion des petites mains de la Haute Couture!

Vous en saurez encore un peu plus la prochaine fois,
rendez-vous samedi prochain (17 juin) pour vous dévoiler encore quelques pistes, cette fois sur…

Pour recevoir des SP, il est encore temps…
écrivez moi ici:
alice.quinn2013@yahoo.fr

À très bientôt et préparez-vous:
sortie du roman le 19 juin 2017 !

NOM DE CODE : MÉMÉ RUTH

couverture par : http://www.kouvertures.com/

Une réflexion au sujet de « NOM DE CODE : MÉMÉ RUTH, ça existe, les chasseurs d’épave ? »

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

J’accepte les conditions et la politique de confidentialité