Le mois de mai riant

 » Il n’a pas creusé la question mais il a immédiatement gravé ses odeurs dans sa mémoire. Lait vaguement aigre, sucre, talc et une autre particulière, qui a émané des yeux de Rohan dès le premier jour, quand il a posé le regard sur lui à travers la grille de sa cage. Celle-ci ne s’est jamais évaporée depuis. C’était le parfum de la tendresse. Il a lu dans toute la personne de Rohan un amour inconditionnel pour lui et il s’est rendu. » Continuer la lecture