C’est la fin du Salon.
Un dernier jour passionnant à l’image des précédents.
Ce matin, un peu plus dur de se lever.
Je ressens comme une baisse d’énergie. Ah bon?
Sur le chemin du Salon, c’est Paris avec un faux air de province,
et une odeur de printemps:
Salut, Aurélie, Carole, un café avec vous, mais pas de photos. 🙁
Quand je dis àAurélie qu’aujourd’hui je commence à fatiguer un peu, elle me dit:
« ah, quand même tu es humaine! »
Elle ignore que je me suis shootée au sel de Salies de Béarn dans leurs thermes en octobre,
et que c’est depuis ce temps là que j’ai une énergie à toute épreuve.
Salle Pégase, conférence-atelier présentée et assurée par Eric,
où je donne quelques petits trucs aux futurs auto-édités.
Il semble que j’aie oublié le réflexe de l’objectif. Ps de photos là non plus.
Plusieurs personnes restent à la fin pour demander des tuyaux supplémentaires.
Voilà quelques émules repartis avec plus de courage pour se lancer.
Apparition: Véronique était là et la conférence s’est terminée avec elle autour d’un chocolat chez Paul.
Retour au stand.
Interview de Laurent et on enchaîne avec une table ronde en présence de: (de gauche à droite)
Didier Imbot, CécileChabot, Eric, myself et Laurent Bettoni:
Visite de Veronique Girard et Jean Charles Fitoussi sur le stand:
Discussion au sommet avec Didier Imbot:
Petit selfie avec Véronique:
Sur le vif Eric et Anne Laure:
petit selfie avec Isabelle et Laure:
et avec Anne-Laure:
J’ai acheté avant de partir le livre de Wiener Kerns Fleurimond, auteur haïtien:
« Haïti, l’état de la Nation. »
Champagne d’adieu dans des gobelets en carton (chut):
mon retour solitaire en tramway:
Et je termine cette journée en savourant le luxe de ma solitude
dans un délicieux restaurant familial, « Le Petit Baigneur », rue de la Sablière dans le 14e.
Décor rétro Marcel Carné, accueil chaleureux de Patrice, et cuisine ad hoc.
Je recommande. <3
Ce que j’ai préféré dans ce Salon,
outre le fait de voir en vrai les amis virtuels,
c’est de faire se rencontrer des tas de personnes qui étaient faites pour s’entendre
mais qui ne se connaissaient pas encore.
J’espère que des tas de projets vont naître de ces rencontres.
Je repars le moral chargé à bloc.
Bonne nuit les accrocs des livres.