Roman chez City éditions :
LE GARÇON QUI RÊVAIT DE VOLER EN CADILLAC.
Le garçon qui rêvait de voler en Cadillac
Comédie Policière:
Ranko, père inconnu, mère en prison : un vrai mélo!
Fugueur récidiviste de la ddass, il n’a qu’un but, rejoindre son père dont il se raconte qu’il est pirate à la Réunion. Le fric pour le voyage? No problèmo, Ranko a un plan d’enfer: suffit de braquer des vieux à la sortie des banques.
Surtout qu’en faisant du stop, il va rencontrer un truand, un vrai de vrai, Bloody Theo, à qui il va subtiliser discrètement un énorme flingue et une clé banale… Mais quand on s’en prend à un vrai méchant, il ne faut pas s’étonner des retombées.
Un beau matin, en planque devant une banque, il voit arriver dans un sillage tonitruant de jazz-musette, une superbe Cadillac rose bonbon, qui se gare en double file.
Un type d’âge mûr en descend, Jo, perfecto rouge serré sur un ventre rond, santiags, banane à la rocker…
Ranko vient de trouver son frère, son père, son double, dans cet accordéoniste sur le retour qui, lui, voit en Ranko sa dernière chance de vivre une vraie folie, non sans y mêler sa petite fille, Victoria.
Pendant ce temps, les flics coursent les truands qui coursent Ranko qui commence à en pincer sérieusement pour Victoria…
Pour Ranko, est-ce toujours partir qui compte le plus?
Alice Quinn, l’auteur de Un Palace en Enfer, nous donne ici une comédie policière, certes sans Rosie, mais tout aussi jubilatoire.
Prenez un bain de fraîcheur et de bonheur au BalaJo…
Tendresse, humour, suspense et jazz musette sont au rendez-vous dans un Paris attachant, ce Paris que nous aimons.
***
Roman noir chez label Les Indés:
Sélectionné pour le prix Hors Concours :
Fanny N. présenté par l’éditeur:
Fanny N. adore les bébés. En avoir un à elle, c’est le rêve de sa vie. Quand elle les regarde, au parc, dans leurs poussettes, avec leurs mamans, l’envie monte, monte… et peut-être aussi la jalousie. Car Fanny N. a 33 ans, mesure 1,59 m, pèse 100 kilos, et vit encore chez sa mère, qui l’infantilise totalement. Il faut dire que Fanny N. n’est pas tout à fait comme la majorité des jeunes femmes de son âge, avec son corps dévasté par des monstres et sa simplicité d’esprit proche de celle des petits dont elle s’occupe à la crèche. Alors les prétendants au titre de père ne se bousculent pas au portillon.
Que faire, dans ces conditions ? Que faire de cette tendresse qui la dévore au fil du temps ? Que faire de ces désirs frustrés, de cette douleur insupportable ? Que faire, lorsque l’envie devient obsession ? Barricadée derrière ses éclairs de lucidité, d’humour et d’autodérision, Fanny N. pourra-t-elle tenir encore longtemps ou finira-t-elle par exploser comme une bombe à retardement ?
Auteur de la série humoristique et best-seller Au pays de Rosie Maldonne, Alice Quinn nous bouleverse dans cette tragédie d’une noirceur abyssale. Impossible de rester insensible au calvaire de Fanny N., qui clame désespérément son droit au bonheur, en dépit de sa « différence ».
FANNY N.
est un roman particulier dans mon parcours.
Parfois les usines à ronds fabriquent soudain des carrés et elles en sont les premières surprises.
Il est publié par le label Les Indés (Laurent Bettoni)
Ce roman change radicalement de ce que j’écris d’habitude.
Il est noir, il est dur, il est cruel.
C’est le cri d’une jeune femme différente.
Fanny N. est obèse, et elle a un rêve: devenir maman à tout prix.
Oui, mais les circonstances de sa vie, son enfance, sa mère, sa logique un peu space,
sa santé fragile, tout l’en empêche.
Jusqu’où ira-t-elle pour combler ce besoin irrépressible?
Ce roman est une plongée dans la folie de Fanny N.
Ce petit message est donc une sorte d’avertissement.
Les personnes qui aiment rire ou se détendre,
c’est à dire vous, mes lectrices et lecteurs adorés,
vous devrez sauter ces lignes.
Voilà deux trailers réalisés par des amis: