LE CARNET VOLÉ, une vision peu commune de Cannes à la Belle-Époque

Avec le confinement, je ne sais plus quel jour on est…
Et j’ai raté la sortie de mon propre roman!
Avouez qu’il faut le faire!

LE CARNET VOLÉ, Une enquête à la Belle-Époque, par Alice Quinn

fait partie d’une trilogie,
mais comme toutes mes séries, ce volume peut se lire indépendamment des autres.

Car dans chaque opus, l’intrigue se termine à la fin…

Si on connaît déjà les personnages, j’imagine que le plaisir est plus grand,
cependant on peut également les découvrir à partir de n’importe quel tome.
il m’est arrivé ainsi parfois,
au fil de mes lectures,
de dénicher des personnages récurrents à travers un volume pris au hasard,
et quel bonheur ensuite, quand je m’étais attachée au personnage,
de le voir évoluer autrement dans des volumes qui chronologiquement se situaient avant dans le temps.
C’est un peu le principe des préquels.

Et je dois dire que le plaisir est parfois supérieur puisque j’attends alors avec délice le moment où les rencontres vont se faire,
et quelle jubilation de connaître avant le personnage lui-même ce qui va lui arriver dans le volume suivant.

Le plus facile pour moi, avant de vous résumer de quoi parle dans ce roman,
c’est finalement de vous donner l’avis d’une blogueuse qui vient de le lire:

 » Dernier volet d’une trilogie , ce roman peut se lire seul.
J’ai beaucoup aimé cette histoire dans la France fin 19eme.
On y découvre le rôle donné aux femmes et leurs droits ou plutôt leur manque de droits…
Une enquête sur des décès apparemment sans liens, une jeune femme qui disparaît, l’assassinat de son jeune frère…
Tout est rondement mené avec la complicité de Maupassant , rien que ça…
Les différentes strates de la société sont décrites sans concession mais avec aussi une certaine humanité.
Je vais me procurer les 2 premiers tomes car je suis curieuse de découvrir comment cela a commencé . »
par Delphine V, Rédacteur

C’est un pan de l’histoire pas forcément glorieux, mais passionnant que j’ai fouillé en écrivant ce roman.

LE CARNET VOLÉ, Une enquête à la Belle-Époque, par Alice Quinn,

Présentation de l’éditeur

Incendie, suicide, chute mortelle :
en quelques jours, les morts accidentelles au sein de la bourgeoisie cannoise se succèdent
et perturbent l’ordre de la Cité des Princes.

Du côté de la villa Les Pavots, l’ambiance est plus que morose depuis que le jeune Basile Mouron,
qui vient souvent rendre visite à Miss Fletcher et ses amis, a été accusé d’attentat terroriste par le brigadier Rodot.
Peu après, Basile meurt assassiné dans les bras de Lola, à qui il a remis un mystérieux carnet
mais avant il lui fait promettre de retrouver sa sœur disparue.

Lola, Miss Fletcher et Maupassant se lancent à corps perdu dans l’enquête.
Rapidement, ils découvrent que les accidents ressemblent plutôt à des meurtres déguisés.
Mais quel est le rapport avec les enfants Mouron ?

Entre une Lola qui refuse de toutes ses forces un mariage malgré sa situation délicate,
une Miss Fletcher amoureuse
et un Maupassant qui sombre dans la folie,
les chemins des trois héros se séparent inexorablement.
Parviendront-ils à faire les bons choix tout en perçant le secret du carnet volé ?

2 réflexions au sujet de « LE CARNET VOLÉ, une vision peu commune de Cannes à la Belle-Époque »

  1. Depuis sa création, je suis avec enthousiasme les aventures de miss Fletcher et ses amis: des romans pleins de fantaisie, des reconstitutions historiques très réalistes, des personnages attachants que l’on a plaisir à retrouver au fil de leurs enquêtes, une plume riche et sensuelle. Un grand merci à Alice pour ces cadeaux qui mettent de la joie dans notre quotidien.

  2. Oh!
    Quel bonheur de lire votre ressenti, Cathie!
    C’est un honneur!
    Savoir que ce qu’on a écrit procure de la joie de lire! c’est merveilleux!

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