Marketing digital : 5 mythes sur la mesure de performance de vos actions sur Internet

Capture d’écran 2015-09-13 à 12.04.22
En ce moment, comme ça m’amuse,
j’essaie de faire pro et d’assurer pour la sortie de mon roman:
Rosie se fait la belle, le 6 novembre 2015.

KINDLE-COVER-Rosie2-5,5x8,2inchs RVB RVB
Je me pose donc des tas de questions de marketing.
J’obtiens toutes sortes de réponses en farfouillant sur le Net,
de la part d’amis bienveillants aussi.
Je n’y comprends goutte, (cette expression plairait à Rosie, il faudra que j’y pense…)
mais ça me donne le sentiment du devoir accompli.
Au moins, j’aurais fait tout ce que j’aurais pu pour aider Rosie,
non pas à se faire la belle,
mais à se faire la part belle.
Si ça marche, Mazel Tov, comme dans un Woody Allen.
Si ça ne marche pas, ce ne sera pas de ma faute, Rosie ne pourra rien me reprocher.
C’est pourquoi quand j’ai reçu cet article dans la boîte, (ci-dessous sur le marketing digital)
je me suis dit: c’est exactement ce qu’il me faut.
Je l’ai lu,
j’ai pas compris grand chose,
mais j’ai trouvé l’article assez bluffant…
Bref, je suis sûre que ça pourra aider quelques personnes parmi vous
qui eux, y comprendront quelque chose…

Scooped by Olivier JADZINSKI
onto Entrepreneurs du Web
Rescooped by Chris Simon onto Le Mag des Auteurs Indés
Marketing digital : 5 mythes sur la mesure de performance de vos actions sur Internet

Un article de Cédric Deniaud

3 réflexions au sujet de « Marketing digital : 5 mythes sur la mesure de performance de vos actions sur Internet »

  1. Hello, Alice,
    Le prof de philo de ton fils voulait, sans aucun doute, expliquer que la croyance (la foi) n’a rien à voir avec la connaissance et donc que « CROIRE avoir compris ce n’est pas avoir compris ». Un nommé Hegel a écrit à ce propos un livre intéressant « Foi et Savoir » mais je pense que son prof de philo y a fait allusion????
    En d’autres termes la Croyance n’éclaire pas l’esprit, elle ne fait que le rendre esclave (voir les religions dont la plus folle actuellement!). Il est donc préférable de n’avoir rien compris, car ainsi on peut fonder une ou plusieurs hypothèses de recherches qui, à terme, permettront -peut-être- de comprendre (en fonction de l’investissement à chercher de la personne).
    Ouarch! Mes souvenirs de pas mal d’années de philo remontent. Hihi!
    Bon je n’insiste pas, j’aurais l’impression d’en faire trop.
    Bise
    Armand

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

J’accepte les conditions et la politique de confidentialité